L'AVORTEMENT

CE QUE DIT LE NOUVEL ORDRE MONDIAL

L’avortement subventionné comme outils de contrôle de la population.

Pas de surprise alors que l’élément suivant soit l’avortement. Ceci remonte à 1969. Il disait « L’avortement ne sera plus un crime. L’avortement sera accepté comme étant la norme. », et ils seront même payés à même les taxes.

Les contraceptifs seront rendus disponible avec l’argent des taxes alors personne n’en manquera. Si les programmes de sexe à l’école amènent plus de grossesses chez les enfants, ce ne sera plus du tout vu comme un problème. Les parents qui seront opposés à l’avortement sur un aspect religieux ou moral, changeront leur façon de voir les choses lorsque leur propre fille leur annoncera sa grossesse.

Ceci aidera à renverser l’opposition à l’avortement. Avant longtemps il ne restera plus que quelques têtes dures qui continueront à refuser l’avortement comme étant acceptables et ils n’auront de toute façon plus aucune importance.

Et un des avantages favorisant l’avortement, si un avantage peut-être trouvé au fait de tuer, est le fait que l’avortement est une façon de réduire la population à la source, avant la naissance. Ce qui évite une population trop lourde et vieillissant trop rapidement comme c’est le cas actuellement aux États-Unis.

CE QUE DIT LE CORAN

Si l’Islam a permis au musulman d’empêcher la grossesse par nécessité, il ne lui permet pas de commettre un crime en s’opposant à cette grossesse dès que sa présence effective a été reconnue.

Les savants en jurisprudence sont d’accord pour affirmer que l’avortement provoqué, alors que Dieu a déjà insufflé la vie dans le foetus, est interdit et criminel. Il n’est pas permis au musulman de la faire car il commettrait alors un crime contre un être vivant dont la formation est accomplie et la vie évidente.

Ils ont dit : « C’est pour cela que celui qui provoque l’avortement d’un foetus doit en payer le prix du sang s’il sort vivant avant de mourir et une sanction pécuniaire moindre s’il sort déjà sans vie. »

L’imam al-Ghazali dit : « L’empêchement de la grossesse n’est semblable ni à l’avortement provoqué ni au fait de tuer le bébé à sa naissance, car ces deux derniers cas sont un cirme sur l’existence d’un être vivant et l’existence a plusieurs degrés. Le premier degré de l’existence est la fécondation. L’ovule ainsi fécondé se prépare à recevoir la vie. Empêcher cela est déjà un crime. Quand l’ovule s’accroche à l’utérus, le crime devient plus immoral et quand on a insufflé la vie à l’embryon qui a acquis sa pleine formation, ce crime devient encore plus immoral. Il atteint le summum de l’immoralité une fois que le foetus se détache vivant. »

CE QUE DISENT LES FRANC-MAÇONS

« La liberté de la femme et la liberté du couple »

1956 : La Grande Loge Féminine de France met à l’étude des loges la question suivante : « Le devoir de la femme et la liberté de conception ».

Communiqué de presse d’une obédience féminine publiée après l’annonce de la fabrication de la pilule anticonceptionnelle du docteur Pincus : « Pour rendre à la femme sa dignité de femme et de mère, pour la libérer de l’angoisse et de la peur d’une maternité non désirée et non consentie, il s’agit d’admettre comme parfaitement licite l’utilisation des procédés anticonceptionnels efficaces, et permettant de procréer ou non, selon la volonté bien déterminée des couples et particulièrement de la femme. »

Déclaration du frère Pierre Simon : « En cette fin du XXème siècle, sur un plan philosophique et plus universel, on peut dire que la récente maîtrise de la vie est un des grands moments de l’histoire humaine. Et cette histoire de la vie, qui a commencé avec l’accouchement sans douleur, et qui s’est poursuivie avec la contraception, la sexualité, l’avortement et la procréation médicalement assistée, nous enseigne que le genre humain a aujourd’hui la mainmise sur son propre destin. »