mardi 22 novembre 2011

LE SIDA


CE QUE DIT LE NOUVEL ORDRE MONDIAL
Nouvelles difficultés à diagnostiquer et les maladies intraitables.
Prochain sujet à discuter est la santé et la maladie. Il mentionna qu’il y aurait de nouvelles maladies qui apparaîtraient et qui n’auraient jamais été vues auparavant. Elles seront difficiles à diagnostiquer et intraitables – du moins pour une longue période de temps - Aucune élaboration ne fut faite à ce sujet, mais je me rappelle qu’après avoir entendu cette présentation, chaque fois que j’avais un diagnostic ardu à émettre, je me posais la question à savoir si ceci était ce dont il avait fait référence. Quelques années plus tard, lorsque le SIDA se fut ultimement développé, je songeai que le SIDA était un exemple de ce dont il parlait à cette époque. Je crois maintenant que le SIDA est très probablement un virus qui fut fabriqué.
LIVRE JAUNE N°2
Wofgang Eggert révèle : « des archives du Congrès américain gardées secrètes pendant des décennies, qui viennent d’être rendues publiques, montrent que le Dr Donald McArthur, le directeur adjoint du département des recherches au ministère del a Défense américain, a déposé le 9 juin 1969 une demande de financement de 10 Millions de Dollars. Selon ses déclarations, cet argent devait servir à développer un nouveau virus, capable d’anéantir le système immunitaire et d’empêcher toute thérapie. Le budget a été voté et les recherches ont été menées dans un laboratoire de haute sécurité. Les scientifiques les plus qualifiés ont travaillé sur ce projet; parmi eux, Robert Gallo, un des pionniers de la découverte du virus de l’immunodéficience humaine (VIH).Le temps imparti aux recherches était de dix ans et dix ans après sont apparus les premiers cas de sida aux Etats-Unis. »
La chaîne des preuves semble sans limites, surtout en ce qui concerne la recombinaison du virus. Les Américains tenaient là la première arme génétique, certes incomplète, car à l’inverse de ses successeurs, elle n’était pas en mesure de viser certaines populations précises ou certains territoires géographiques. 
Le sida a été répandu pour décimer l’humanité, surtout le continent africain. Pour des raisons que j’ignore, cela n’a pas fonctionné. Il y a eu des résutats, mais trop peu. Il faut agir autrement, on travaille sur d’autres maladies. 
On vend à ces pays des armes pour qu’ils s’entretuent. Pour les grands dirigeants, les Africains ne produisent rien et ne participent pas au développement, ce sont des parasites. Les pays africains sont tellement endettés qu’ils ne pourront jamais redresser la situation. Les maîtres du monde ne s’intéressent qu’aux matières premières de ces pays, pas aux hommes. C’est aussi simple que cela et les Chinois sont sur les rangs. 
LIVRE JAUNE N°6
Il fallait une épidémie mortelle ou quelque chose de monstrueux, que l’on pourrait imputer à la nature. La réponse est venue du Club de Rome.
Aurelio Peccei a proposé plusieurs projets, tous secrets.
Le projet principal consistait à développer un microbe, qui attaquerait le système immunitaire, et pour lequel un vaccin serait presque impossible à trouver. L’ordre a donc été donné de développer ce microbe, sans oublier les moyens prophylactiques et une thérapeutique appropriée. Le microbe devait être dispersé dans la population, les moyens prophylactiques seraient réservés à l’élite. 
Quand la population aurait suffisamment baissé, on pourrait officiellement annoncer la découverte du médicament pour soigner les survivants. Il est clair que le médicament existait depuis le début de l’opération. Ce projet fait partie intégrante du projet Global 2000. Maintenant, c’est à vous de deviner comment s’appelle ce microbe? Evidemment, il s’agit du virus du Sida !!
Le projet a été approuvé par le Congrés en 1969, sous le numéro de code H.B.15090. 10 millions $ ont été versés pour la première tranche. Des témoignages devant la commission du Sénat ont révélé qu’un « agent synthétique et biologique devait être développé, un agent qui n’existe pas dans la nature et contre lequel l’organisme est incapable de produire des anti-corps. Il doit être possible de développer ce micro-organisme dans les cinq à dix années à venir. Il est primordial qu’il soit résistant à tout processus immunologique et thérapeutique connu ». 
Sir Julian Huxley dit à ce sujet : « La surpopulation est la plus grande menace que notre espèce aura à affronter dans le futur ».
Le projet SIDA qui porte à ce moment-là le nom de MK-NAOMI, a été élaboré à Fort Dertrick, dans le Maryland. D’après les explications du Dr Strecker, on a mélangé des rétrovirus mortels, des virus de leucémie (bovin leukemia) avec des virus « visna » du mouton et on les a injecté dans du tissu humain.
Comme il fallait agir sur une grande partie de la population, on a commencé par les populations « indésirables » : les Noirs, les hispaniques et les homosexuels. Les pauvres homosexuels ont été encouragés d’un côté à exprimer leur différence, d’un autre côté ils se sont retrouvés sur la liste des personnes à éliminer.
Des articles ont été publiés, pour inciter les chercheurs à développer un virus mortel pour l’homme. En 1972, l’OMS, publiait ce genre de propos : « Nous faisons des recherches pour savoir si certains virus peuvent agir sur les fonctions immunitaires. Il faut inclure la possibilité que la réaction immunitaire face au virus diminue, si le virus endommageait les processus antiviraux de la cellule ».
Pour l’exprimer plus simplement il faudrait dire : « Développons un virus qui peut détruire les cellules-T quand on l’administre de façon volontaire ».
Le continent africain a été infecté en 1977 à travers la campagne de vaccination contre la variole. La vaccination a été réalisée par l’OMS. Le Dr Strecker assurait qu’en l’espace de 15 ans, toute l’Afrique serait dévastée, si on ne trouvait pas le remède !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire