samedi 12 novembre 2011

LES COULEURS


CE QUE DIT LA RÉSISTANCE HUMANI-TERRE

Chacun a tendance à s’habiller avec les couleurs dont il ressent intuitivement avoir besoin. Est-ce encore possible aujourd’hui? 

La seule chose qu’on peut remarquer aujourd’hui, c’est que les couleurs brillent par leur absence dans notre monde gris, noir et autoritaire (bleu et autres couleurs foncées), À PART DANS LA PUBLICITÉ. Et ce n’est sûrement pas de l’orange, symbole de liberté et d’épanouissement sexuel, qu’on va utiliser le plus dans la vie quotidienne.

Aujourd’hui, si vous voulez vous habiller avec de belles couleurs, oubliez cela. Faire du lèche-vitrine aujourd’hui est un bon facteur de déprime, avec le suicide au bout, qui consiste à s’habiller avec ce que l’on a trouvé : du noir ou du gris. Du marron, éventuellement, à condition qu’il ne soit pas lumineux et positif. Tous les vêtements, ou presque, sont sombres. Plus moyen de trouver des chaussettes colorées et des costumes roses. Pourquoi? Est-ce un hasard? Sûrement pas. Cela fait partie du contrôle à distance. Même dans les magasins de sport, il n’y a plus de couleur. Et maintenant, cela commence avec les bébé. Bientôt, on ne pourra plus habiller un bébé qu’en bleu marine, gris ou noir.

C’est pourtant tellement plus gai les belles couleurs. Les peuples premiers les utilisent abondamment. Voilà pourquoi c’est interdit. De plus en plus. Tout est bon pour faire baisser les vibrations et éviter qu’elles ne s’élèvent. Vous savez bien que, globalement, elles s’élèvent sur le plan du champ dans lequel baigne la Terre. Pour compenser cela, il faut rendre triste et soumis. Les manipulateurs sont sur les dents et ne savent plus quoi faire pour s’en sortir. 

Si demain, vous décidez de faire confectionner vos vêtements sur mesure avec vos tissus colorés et chatoyants, on vous enviera un peu, mais surtout on vous traitera d’adepte d’une quelconque secte. Contrôle intégré.

Livre : La Sixième Clef
chapitre III : Les Piliers de la société reptilienne et leur antidote
paragraphe VII : le contrôle et la coercition

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